Le requin-poulet

Le requin-poulet (n.m.), de son origine latine sharko pollo, est un poisson Ovovivipare qui ne va pas mieux mais plus longtemps.

Les représentations de ce mammifère lacustre demeurent rares. Son alimentations reste basique et aisément accessible en période de ponte: canards flouz, houmous, spécialités vegans de chez As de cœur et fils.

Son principal prédateur est l’écrouvisse, menace relativement faible puisque le crustacé se borne à se nourrir des carcasses du requin-poulet.

Un bel exemplaire de mâle dominant (rocco sharko pollo).

Le chef de la basse-court est surnommé le sharkozy. Le déplacement du banc est à l’origine des fameuses vagues surgies de nulle part, bien connues des marins d’eau-douce du bien-nommé Lac de Genève, Geneva lake ou Genfersee.

La classification des requins-poulets a toujours été rendue difficile par les désaccords entre l’OFIST (Office Fédéral des Idéalistes Sauveurs des Tétras) et l’AFANCULO (Administration Fédérale des Adorateurs Nuancés des Carnassiers Unipalmés des Lacs d’Outre-alpins). En raison de ces discordes et du peu de publicité qu’il en est fait, beaucoup remettent en doute l’existence même de ces volatiles si poil soyeux.

Le recensement 2017 réalisé par entretiens télépathiques présente une population estimée à 35 exemplaires vivants, en baisse de 30% par rapport au dernier comptage de 1986. Son pelage est en effet activement traqué pour ses propriétés hydrophobes et flottantes.

Des pattes de requin-poulets du Léman, très recherchées parmi les amateurs et de plus en plus rares. La pollotion sonore due à l’accent vaudois sur les rives du Lac de G’nève ayant fait fuir les bancs en eaux frontalières.
Représentation datant du 13e siècle. Archives du musée du Je.