n.m, golaimant
L’origine du mot vient de l’Histoire, qui raconte que les braqueurs suisses plumés par la crise des Spätzli en 1830 et demi aimaient à se déguiser en Goléman et criaient en arrivant dans les banques : Ghaut-les-mains !
Animal maladroit, aimant se nourrit exclusivement d’écrouvisses (dû à ses carences en faire). Du haut de son vol, il dévisse: ancien forçat du Knie, il conserve des séquelles lorsqu’il dévisse en plein vol pour serrer des écrouvisses, réalisant ainsi le Clou du spectacle.
Le taux de change du Goléman est à parité avec l’Euroquin-poulet.
Les pêcheurs régulent la population en installant des stades de foot autour du lac ; les goals sont en effet des pièges redoutables pour ces animâles.
Il fréquente souvent les salles de fit-lochness, afin qu’on le trouve toujours bien gaulé. Une célèbre statue en Lego se trouve autour du Léman.
L’envergure de l’animâle est monstre grande, mais seulement de moins de 33% selon la police.
La variété valaisanne aime à sortir rouler-bourrer (et pas l’inverse assurent-ils) avec son pote le Saoûl-Bar-Roux.